mardi 27 novembre 2018

L'anniversaire d'un Ami

Mon cher Marc,
O mon ami, ô mon frère.
Non pas dans le cercle des poètes disparus t'ai-je perçu, mais en toge persil dans le carré VIP des poêêêêêtes Môôôôdits t'ai-je revu.
Oui c'était une soirée à thème pistou, et il y avait beaucoup d'huile; Bref je ne me souviens pas de tout mais ça glissait pas mal dans les dédales. Mais pardon. Ne remuons pas ces vieux dossiers, le salace passe à l'As.
Nous ne sommes pas tout le temps d'accord toi et moi, notamment sur les deniers films DC Comics, mais je ferai un effort pour les voir avec tes yeux de bédéphile averti, ceux-là même qui tirent des lazers hyper chauds comme Superman, et qui auraient dû crâmer Batman au premier regard. Izaintite ? (c'est de l'anglais).
En parlant de crâmé, le raccourci est tout trouvé pour parler non pas de tes années passées, paix à leur âme, mais de tes bougies de ce soir, ébouriffées et vacillantes, un peu à notre image en fin de soirées, ployant sous ton souffle rauque d'ours mal léché, et surplombant un gâteau majestueux, au milieu de cadeaux, de rires d'amis, de légos à monter, de BD à lire, de Scotch à boire et que sais-je encore, qui ravirait le marin que tu es devenu et le terrien que tu es.
Je te souhaite tout cela dans l'ordre de ton choix hormis le fait de monter ou démonter tes amis préalablement scotchés car je crois que c'est interdit sans leur consentement.
Je te souhaite donc de fêter comme il se doit ton surplus d'année, dans la joie et la bonne humeur. Je t'aurais bien fait des Panisses pour l'occasion mais je te respecte trop pour t'infliger ça une deuxième fois.
Joyeux anniversaire mon pote, que le vin coule à flot et je trinquerai à ta santé !

mercredi 7 novembre 2018

Ne me Kit pas (La complainte IKEA)

Alors ma belle Mag, on se fait draguer au Starbucks ?
On se fait dédicacer son gobelet par un serveur jeune, beau, irrémédiablement musclé, et déjà si antipathique à mon goût ?
Ah j'y crois pas, ne me dis pas que c'est pas vrai ? Que tu m'échappe ?
Et pourtant j'aime tellement les échappes. Surtout celles bien épaisses à carreaux qu'on prend plaisir à porter en hiver.
Mais là n'es pas le gros plaide.
Ok ma belle, Ok, j'accepte.
Mais sache que je ne partirai pas sans me battre, comme disait Miyamoto Musachi dans son traité des cinq roues. A moins que ce ne soit Leo Ferret, toujours partant pour la castagne, toujours chaud le Leo.
Car il faut le battre, quand l'Ferret est chaud ! (Moueh, moyenne celle-ci...).
Et pour rabattre le plaqué à cet avorton mélaminé, caféiné et crémeur de gobelet à souhait (toute connotation mise à part), je dessinerai sur la plage, ton doux visage, qui me souriait et je crierai Magaliiii ! pour que tu reviennes.
Aussi, pour savourer tes chokapiks, je te créerai un bol en vrai bois construictor (marque déposée par moi) et gravé à tes initiales avec le pyrograveur de notre jeunesse.
Je ne sais s'il marche encore, mais pour ta cause, le bout devrait être rapidement rouge et chaud, je n'en doute pas. De là à fumer il n'y a qu'un tas, comme disait un immolé que je connaissais bien. Il maîtrisait son sujet car il l'avait "bûcher à mort".
Oui un bol en bois rien que pour toi.
Connaissant mes dons pour le bricolage, tu risques d'avaler quelques copeaux au passage, et je m'en excuse à l'avance, ma mie.
J'avais pensé à te le faire au maco-moulage mais quitte à ingérer des particules, je pense que la sciure sera préférable au plâtre, n'en déplaise à nos amateurs de poudre blanche.
Mais ne me quitte pas.
En enfilade, je t'offrirai des perles de pluie venues de pays, où il flotte quand même pas mal. Mais ça m'arrange car à l'heure actuelle, l'eau est moins chère que le saphir et je suis sérieusement à sec même en début de mois.
Ne me quittes pas.
On a vu souvent rejaillir le feu d'un ancien volcan qu'on croyait trop vieux. Et avec un Weber au gaz ça repart nickel, fais moi confiance.
Ne me quittes pas
Je t'inventerai aussi des mots insensés que toi seule comprendras, hein Midali de Villecrose ?
Je t'aime à en vivre.
Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes. À trop vouloir te regarder j'en oubliais les miennes. Du coup je n'accrochais plus sur la route des neiges. Et pas une gourmette de remplacement, rien. J'étais nu du poignet.
Mais laisse moi relever le défi.
Laisse moi t'offrir un dernier présent pour récupérer ton coeur.
Je t'offrirai un club sandwich face à la mer méditerranée...me rappelant ainsi un des moment les plus jolis de ma vie, et de la tienne oserais-je espérer.
Sur les escaliers de la plage, nous discuterons de rien, et de tout, avec légèreté et humour, comme à notre habitude.
Ensuite nous irons manger une glace chez Fenocchio.
Et peut-être, prenant mon courage à deux mains, pourrais-je te proposer de t'accompagner à ton arrêt de bus, histoire de profiter encore quelques minutes de ta si jolie et charmante compagnie....

Par Fab le poêêêête môôôdit

dimanche 4 novembre 2018

I feel Good

Petite dédicace à Jose. J'ai retrouvé une vidéo de 2016 et fraîchement uploadée.
Bon à notre décharge on ne l'avait pas révisée et c'est enregistré au portable.
Ah oui, et je m'étais fracturé les os des deux mains et Mag était en train de chanter en mangeant des chamalows avec une trachéite.
C'est bon j'ai bien bordé le truc 😅.

samedi 3 novembre 2018

Bref...

Bref.....
J'ai envie de chier...
(Je fais une pause avec la poésie Môôôôdite)