Sortie en vélo de ce matin en écoutant la répète de février, après les bières d'hier soir et la fougasse d'Aigue Mortes du petit dèj (cf photo1). Comparatif avec salade et jus de fruit avec la sortie vélo précédente (cf photo 2).
Je suis donc en mesure d'affirmer que la bouffe et la bière permettent d'augmenter considérablement l'efficacité musculaire des cuisses et des mollets. L'arrondi du bide qu'elles provoquent optimisent aussi la prise au vent et donc la vitesse, ce qui me fait gagner pas moins de 7mn sur le même trajet.
Y a pas à tortiller, c'est la solution BBB (Bière, Bouffe, Busic )
CQFD
samedi 21 avril 2018
mercredi 18 avril 2018
La cuisine du surfer
Un surfeur grec me disait que quand y a trop de vagues, ben ça fait de l'Houmous...
Par Fab le poète affamé
Par Fab le poète affamé
Un peu de piano
Un peu rouillé mais encore possible de faire quelques morceaux en duo avec Magali.
Avec le Maestro Gainsbarre qui surveille à travers ses volutes bleues.
Avec le Maestro Gainsbarre qui surveille à travers ses volutes bleues.
vendredi 6 avril 2018
La cuisine de Satan
C’est dans un moment de perplexité,
de chagrin, et surtout d’amertume, que je prends la plume ce soir
pour écrire ces quelques lignes.
Je pense d’abord à ma mère, à
Nice, qui a fait de son mieux pour me transmettre ses valeurs.
Je pense à ma sœur, qui a toujours
été là pour me conseiller.
Je pense à ma femme qui me supporte
depuis plus de 25 ans, une habituée du Cours Saleya.
Je pense à ma fille, le soleil de mon
univers.
Je pense aussi à mes amis niçois, et
à ceux qui sont passés par cette magnifique région.
Et j’ai une pensée particulière
pour mes invités de samedi soir vu que c’est là que le bât
blesse.
Car en effet, après 2 échecs cuisants
en m’essayant à préparer des putains de Panisses (sortes de
galettes niçoises à la farine de pois chiche) et qui ont
littéralement fondu à la cuisson pendant les premiers tests, j’ai
remis le couvert samedi soir en mode « farine double dose », ce qui
reste pertinent quand on invite des gens, qu’ils soient
cocaïnomanes ou pas.
Pour cette 3ème mouture, et bien que
créées à la sueur du coude, du poignet, et je ne sais quelle autre
partie charnue de mon corps de post-athlète sur le déclin, le fouet
à la main (pourtant non prévu pour la 2èmè partie de soirée) et
tel un Zorro parkinsonien, je tentais de faire prendre cette merde à
feu doux en remuant, lui offrait un repos cryo d’une nuit, lui
parlais, la humais, l’invitais à prendre un bain d’huile
d’ooooliveuu, bref je la bichonnais, c’te p…âte.
Mais quels résultats après tant
d’efforts ?
Et bien je dirais qu’au niveau
technologique et chimique, nous sommes sur une consistance
parfaitement brevetable dans le secteur du bâtiment pour caler des
maisons par exemple, mais utile aussi pour faire fuir les hyènes.
Niveau esthétique, elles se
caractérisent par des rectangles grossiers et cramés, non sans
rappeler certaines octogénaires niçoises oubliées sur les galets
de la prom’, et ressemblant à s’y méprendre à des bâtonnets
de poisson séchés au four industriel de chez Lafarge, faisant honte
à ce fumier de Cap’tain igloo.
Après, niveau goût….
Alors, ne vous ne fiez surtout pas à
leur sale gueule sur la photo, car côté gustatif on est loin de la
vérité : c’était carrément pire.
50% acres, 50% âpres, 100% immondes.
Trop de cuisson dehors, pas assez de
cuisson dedans, amères de chez amères, il ne manquait plus que…du
sel.
Intéressant d’ailleurs. Fade et
amère en même temps…Je ne pensais pas qu’on puisse combiner les
deux dans un même plat, à moi les brevets !
Ce soir la tristesse m’étreint… à
défaut de ma femme, mais bon, elle n’est pas encore rentrée du
taf, ça reste donc une brève question de temps, comme dirait
Stephen.
Je n’ose même plus mettre la tête
dans le four pour en finir de peur de croiser une vieille panisse qui
se balade dans l’ombre de la lèchefrite.
C’est donc avec beaucoup d’amertume,
mais avec beaucoup beaucoup d’amertume, que je rends la plume ce
soir….
Par fab le poêêêêête Môôôôdit
et amer.
Auteur du recueil de recettes : «
Holywood et la cuisine Death-Star » (préface de Darth Vader).
Inclus :
- Ma panisse de 1990 par Moi
- Ma sauce aux ceps « Mercenaire »
par Yule Bryyner
- Comment réussir son Torti-coulis de
framboise avec une clé au menton par Steven Seagal
- Mon carpaccio dans ton jus par
Hannibal Lecter
Remerciements : à personne car il n’y
a aucune raison.
En photo 1 : mes…choses
En photo 2, ben…des Panisse
En photo 3 le créateur du
Gloubi-Boulga
jeudi 5 avril 2018
Batte Harley quinn pour le caranval de Leyla, aux feutes Posca
La seule qui a eu l'idée de s'habiller en Harley Quinn pour le carnaval de l'école, ça valait bien une batte personnalisée aux poscas!
Allez venez les prétendants, on va vous montrer comment ça marche.
...Fan de ma fille...😊
Allez venez les prétendants, on va vous montrer comment ça marche.
...Fan de ma fille...😊
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